François, boulanger
“Je souhaite bon courage à nos agriculteurs qui font les différents marchés, nos producteurs également…”, François, boulanger, témoigne.
« On arrête tout, on réfléchit, et c’est pas triste ». Telle était la devise de Gébé dans L’An 01. Aujourd’hui, on est bien obligés d’arrêter. Donc autant réfléchir. Pour que demain soit moins triste.
Attention : Cette page, et nos contacts, ne sont pas destinés à traiter des urgences sanitaires, à vous dispenser des conseils médicaux, ou à répondre à vos interrogations. Son seul objectif est de recueillir vos témoignages, et si nécessaire d’alerter les autorités. Si vous avez besoin d’informations ou d’assistance, renseignez-vous sur la page dédiée sur le site du gouvernement : https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus ou appelez le 0 800 130 000.
C’est mon rôle de député, que je souhaite poursuivre, d’abord aux côtés des soignants, en première ligne : AVS, infirmiers, médecins, n’hésitez pas à m’alerter sur vos soucis, votre service, vos conditions de travail. Mais aux côtés, également, des habitants de mon coin, des salariés, des commerçants : que personne ne soit laissé au bord du chemin.
“Je souhaite bon courage à nos agriculteurs qui font les différents marchés, nos producteurs également…”, François, boulanger, témoigne.
“Pendant cette crise sanitaire, les contrôleurs de trains sont les grands oubliés.”, Malika, agent SNCF, témoigne.
“Des producteurs (qui ont une ferme) se voient signifier par des policiers, lors d’une livraison à des revendeurs, que le fromage ne fait pas partie des aliments de première nécessité…”, Chris, orthophoniste retraitée, témoigne.
“Ces artisans, ces paysans, sont confinés ET condamnés. Quelle perte. Quelle désolation., Carole, aide-soignante, témoigne.
“Ni la Direction départementale de la cohésion social, ni l’ARS, ni Macron et son gouvernement ne se soucient de nous”, Patrice, animateur socio-éducatif, témoigne.
“Le CROUS n’a quant à lui pas perdu son temps, m’informant que la chambre que j’avais réservé n’était désormais plus disponible. J’attends toujours le remboursement.”, Damien, étudiant, témoigne.